En conséquence, on pourrait presque opposer “mobilité” à “migrations”.
La mobilité serait alors un facteur positif d'inclusion sociale, alors que les migrations seraient teintées de présupposés négatifs : migrations des pays pauvres vers les pays riches.
Certaines personnes se déplacent pour trouver un travail ou d'autres opportunités économiques, pour rejoindre leur famille ou pour étudier.
D'autres se déplacent pour échapper à des conflits, à des persécutions ou à des violations massives des droits de l'homme.
Les raisons des migrations peuvent être liées à des besoins et envies de voyage de court ou long terme, pour éventuellement rejoindre de la famille vivant à l'étranger, pour des vacances, etc.
Ces déplacements peuvent être limités par la politique de visas des pays d'arrivée.