La formation dans ce contexte représente un atout indéniable puisqu’elle offre intrinsèquement des perspectives de carrière. En ajoutant de nouvelles cordes aux arcs des salariés, elle permet d’être acteur de son évolution, de se sentir plus en confiance sur son poste ou de s’orienter vers un métier passion.
En 2023 particulièrement, la formation se veut le reflet de la société : elle devient une réponse face au désengagement au travail, aux envies de changements des salariés et aux pratiques instaurées par le télétravail. La formation, en tant que marché, se réfléchit également différemment vis-à-vis des limites budgétaires.
Cependant, pour garantir son bon déroulement, une planification minutieuse est essentielle. En conclusion, l’année 2023 marque un tournant décisif dans le domaine de la formation.
Créés en 2019 en réaction à la loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel, France compétences et son CPF creusent chaque jour un peu plus leur déficit. Estimées à 2,2 milliards d’euros en 2022 et à 2,1 milliards en 2023, les carences de la structure poussent les élus à revoir son fonctionnement et à sélectionner de plus en plus duremen
Bien que son financement reste en suspens, la formation a l’opportunité de prendre une nouvelle place dans les entreprises et administrations. Depuis l’avènement du télétravail et de son lot de conséquences, le marché du travail change : les Français sont de moins en moins impliqués dans leurs missions, les cas de burn-out augmentent et de nombreus
Quels changements côté formateurs ? Rappelons-nous que 2022 a été mouvementé concernant les financements et ressources disponibles : le dispositif FNE-Formation s’est modifié plusieurs fois et les actifs ont remis en question l’accès à la formation au vu de son coût. Johann Vidalenc, responsable financements et certifications chez Unow et membre du