Rappelons que deux notions à la base des théories ondulatoires sont celles de fréquence et de lon- gueur d’onde. Une onde plane monochromatique eik r iωt · − est caractérisée par sa pul- sation ω et un vecteur d’onde k. Or la formulation schrödingerienne montre que la mécanique quantique est une physique ondulatoire... mais pas seulement.
Enfin, du côté des échelles microscopiques elle cède bien sûr la place à la mécanique quantique (1927). Dans la tentative de définition d’un domaine d’application des théories, les constantes fondamentales jouent un rôle très important.
Cependant la définition du domaine quantique n’est malheureusement pas aussi simple (cf. par exemple la discussion clôturant la section 4.2, page 84). Une distinc- tion très importante entre mécanique classique et mécanique quantique est l’existence de phénomènes d’interférences quantiques.
La théorie quantique (non relativiste) de l’atome d’hydrogène est exposée, puis nous discutons des méthodes d’approximation, mises en pratique pour l’étude des correc- tions relativistes dans l’atome d’hydrogène, et finalement les problèmes dépendant du temps (interaction atome-lumière). Ces sujets correspondent au programme du magistère d’Orsay.