Les pratiques d’enseignement efficaces sont donc également équitables, car elles permettent à tous les élèves de progresser.
Les enseignant·es universitaires sont donc amené·es à choisir des stratégies d’enseignement adaptées aux objectifs visés, aux types d’apprenant·es ainsi qu’aux différents contextes de formation (Charlier, 1991). On retrouve dans les écrits des stratégies diversifiées qui permettent ainsi à l’enseignant·e de faire des choix éclairés.
Les premiers travaux menés aux États-Unis sur l’efficacité des pratiques enseignantes postulaient que la profession d’enseignant supposait un certain type de personnalité. Autrement dit, ces études recherchaient un facteur d’efficacité, le même quel que soit les contextes rencontrés par les acteurs.
L’enseignant objective la compréhension notamment via des questions posées à tous les élèves, fournit des feedbacks et donne de l’étayage (dispositifs de soutien physiques, verbaux et visuels enlevés progressivement) jusqu’à l’obtention d’un taux de succès élevé ;