Sur cette base, elle a proposé une définition de travail des droits culturels et fait part de ses réflexions initiales au sujet de l'interaction entre le principe de l'universalité des droits de l'homme, la reconnaissance et la réalisation des droits culturels et la nécessité de respecter la diversité culturelle.
Des représentant·es de la FTA, d’ASTRAC et de La Concertation sont membres des comités de la Plateforme d’observation des droits culturels de C&D. Par ailleurs il était prévisible que la rencontre ait lieu entre la démarche de co-construction de La Concertation et celle de l’« Approche des droits culturels » de la Fédération du Théâtre-action.
En 2015, une commission droits culturels est organisée au sein de C&D. En 2016, à l’appel d’associations et d’institutions françaises chargées depuis le vote de la loi NOTRE 8 (juillet 2015) de mettre en œuvre les droits culturels, cette commission délègue à trois reprises deux de ses membres dans le Puy-du-Dôme (Auvergne).
Il existe en effet bien des façons de « parler droits culturels », de les apprivoiser, d’en enrichir les démarches existantes, culturelles et sociales, d’apprécier leur effectivité et de percevoir les obstacles à leur mise en œuvre.
Les droits culturels protègent les droits de chacun, individuellement et collectivement, ainsi que les droits de groupes de personnes, de développer et d'exprimer leur humanité, leur vision du monde et la signification qu'ils donnent à leur existence et à leur épanouissementpar l'intermédiaire, entre autres, de valeurs, de croyances, de convictions
Dans son premier rapport thématique soumis au Conseil des droits de l'homme en juin 2010 (A/HRC/14/36), la Rapporteuse spéciale a examiné quels étaient les droits humains pouvant être considérés comme culturels et la manière de mieux définir leur contenu. En s'appuyant sur divers instruments et études, elle a souligné que les droits culturels se ra
En mars 2016, la nouvelle titulaire du mandat, Mme Karima Bennoune a dédié son premier rapport au Conseil des droits de l'homme a une revue du travail effectué par le mandat au cours de ses 6 premières années, et a souligné certains axes prioritaires pour continuer le travail. Ce rapport commence également l'exploration du thème de la destruction i
À l'occasion du dixième anniversaire du mandat sur les droits culturels et du soixante-dixième anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l'homme, la Rapporteuse spéciale, dans son rapport au Conseil des droits de l'homme (A/HRC/40/53), donne un aperçu des travaux accomplis dans le cadre de ce mandat depuis sa création en 2009 et prop
En mars 2022, la nouvelle titulaire du mandat, Mme Alexandra Xanthaki, a présenté un aperçu de sa vision du mandat. S'appuyant sur les importants travaux menés par ses prédécesseures, elle a souligné les aspects importants de l'évolution de la nature et de la portée des droits culturels et a réfléchi aux obligations correspondantes des États. Dans
Discours de la Rapporteuse spéciale « Pourquoi les droits culturels sont-ils importants ? » à la session « The Hour of Freedom – Facts, Fictions and Freedom of Expression », organisée dans le cadre
Observation générale No. 25(2020) du Comité pour les droits économiques, sociaux et culturels sur la science et les droits économiques, sociaux et culturels, Art. 15.1.b, 15.2, 15.3 et 15.4, adopté