des mouvements sociaux envisage des groupes plus larges ainsi que les relations entre l’individu, le groupe et l’ensemble de la société. Alors que les premières font des besoins psychologiques et des rétributions des facteurs clefs de la radicalisation, la seconde conçoit
C’est entre résignation et révolte que se révèle la résistance à l’oppression. La notion d’oppression est un des éléments clefs de la définition d’un droit de résistance ; l’oppression se détermine à partir de la violation des droits de l’homme et, dans une certaine mesure, à partir de la violation des droits du peuple.
La résistance à l’oppression relève, du fait des expressions du préambule de cette Déclaration, de ces droits inaliénables et sacrés qui encadrent l’action des pouvoirs publics et fondent les réclamations des citoyens.
Des mouvements et des réseaux de résistance sont créés : Libération -Sud (divers gauche), Combat (gaulliste), Confrérie Notre-Dame (spécialisé dans les missions de renseignement ou de sabotage), Brutus (socialiste) les Francs-tireurs et partisans français et le Front national (communistes)…