Les managers étant souvent en mal de moyens pour apaiser les tensions, les neurosciences sont perçues aujourd’hui par les DRH comme un recours possible et prometteur pour repenser le management … et le réinventer.
Non seulement l’apport des neurosciences dans le management n’est pas une promesse en l’air, mais elle semble à la portée de tous (y compris, convenons-en, de la grande majorité des managers non-titulaires d’une thèse en médecine…).
« Il s'agit d'adapter le monde du travail au fonctionnement cérébral plutôt que l'inverse », explique le chercheur. Un neuroscientifique américain du nom de David Rock a donné naissance à ce concept connu sous le nom de « neuroleadership » en 2006.
Plus d'efficacité et de bien-être du côté des équipes, des managers mieux armés pour analyser les résistances aux changements, accroître la motivation de leurs collaborateurs et en définitive affirmer leur leadership... C'est toute la promesse des neurosciences en entreprise.