Actuellement, de plus en plus de praticiens et d’experts de la petite enfance discutent de l’importance des neurosciences et de la nécessité, pour les éducateurs de jeunes enfants, d’avoir une compréhension approfondie du fonctionnement de l’esprit humain pour proposer une prise en charge adaptée [7].
Grâce aux neurosciences affectives et sociales, il est désormais possible de porter un regard nouveau sur la petite enfance. Le cerveau du jeune enfant est immature avant l’âge de 6 ans. L’entourage, les parents et les professionnels, doit être en mesure d’accompagner de manière optimale son développement au regard de ces nouvelles connaissances.
Le cerveau du jeune enfant est immature avant l’âge de 6 ans. L’entourage, les parents et les professionnels, doit être en mesure d’accompagner de manière optimale son développement au regard de ces nouvelles connaissances. Lorsqu’il est question de la petite enfance, nous tenons rarement compte de l’importance des neurosciences.
La pratique éducative et formative ne peut plus ignorer les recherches et acquis des neurosciences aujourd’hui. De nouvelles méthodes, en cours de développement, permettent d’explorer les différences interindividuelles dans l’anatomie du cerveau et dans ses modalités de fonctionnement.