Je suggère que ce que certains appellent rupture ou échec sont à la fois des formes de communication et des tentatives de connexion. Ce sont des signes que quelque chose n’est pas arrivé dans le couple de travail, que quelque chose a dérangé, énervé, déconcerté, n’a pas été exprimé ou a été perdu tout en étant désiré.
Les ruptures de confrontation sont plus démonstratives. La colère, la rancœur, la furie et l’insatisfaction sont souvent exprimées de manière directe, forte et parfois effrayante. Les deux types de rupture reflètent le besoin de ce que Safran et Muran appellent le pouvoir et la relation (p. 31).
Autrement dit, la rupture est créée à l’étape attrape-nigaud et point faible mais en dehors de la conscience. En résumant cela, je suggère que les jeux, dans le coup de théâtre ou le moment de confusion, se répéteront jusqu’à ce qu’une réponse soit apportée à la question d’origine.
La colère, la rancœur, la furie et l’insatisfaction sont souvent exprimées de manière directe, forte et parfois effrayante. Les deux types de rupture reflètent le besoin de ce que Safran et Muran appellent le pouvoir et la relation (p. 31). Le pouvoir ressemble aux principes d’analyse transactionnelle d’autonomie et d’indépendance.