La condition féminine sous le Troisième Reich se caractérise par une politique visant à cantonner les femmes dans un rôle de mère et d'épouse et de les exclure de tout poste à responsabilité, notamment dans les sphères politiques ou universitaires.
Jean-Marie Flonneau, « Compte-rendu de lecture de l’ouvrage de Claudia Koonz, Les mères-patries du IIIe Reich, les femmes et le nazisme : La rue et la fête du Front Populaire », Vingtième Siècle. Revue d'histoire, no 27, juillet-septembre 1990 ( lire en ligne, consulté le 28 décembre 2017). Marilyn French (trad.
La politique démographique agressive du Troisième Reich encourageait les femmes “racialement pures” à enfanter autant d'enfants “aryens” que possible. Cette politique revêtit sa forme la plus radicale en 1936, lorsque les dirigeants SS lancèrent le programme national connu sous le nom de Lebensborn (source de vie).
Certaines femmes allemandes, influentes ou non, interrogées longtemps après la fin du Troisième Reich, confesseront n'avoir pas renié le régime national-socialiste, ni la personne d'Adolf Hitler, refusant parfois de reconnaître les crimes commis pendant ces années. D'autres, comme Henriette von Schirach dans son livre Der Preis der Herrlichkeit.