La norme pour les bases de données relationnelles est la scalabilité verticale qui implique nécessairement l’augmentation des capacités comme la RAM, les processeurs et les SSD, sur le serveur existant ou en migrant vers un serveur plus grand et plus cher. Les bases de données NoSQL quant à elles offrent la scalabilité horizontale.
NoSQL est la technologie de base de données à privilégier pour mettre en place de tels systèmes. Comme vous le verrez plus loin, l’évolutivité est l’une des différences clés entre les bases de données relationnelles et NoSQL.
Pour les bases de données orientées graphe, l'utilisation de schéma de données n'est pas toujours nécessaire. La première étape de la création d'une base de données relationnelle est de définir son schéma, c'est-à-dire l'ensemble des tables la composant et l'ensemble des champs de ces tables.
Pour cette raison, la duplication de données entre les tables dans les bases de données relationnelles est réduite au minimum. Bien qu’extrêmement organisées, les bases de données SQL sont aussi de ce fait extrêmement inflexibles et difficiles à modifier. Il faut consacrer beaucoup de temps et de réflexion à leur conception avant de les créer.
L’histoire du NoSQL commence en 1998. Carlo Strozzi est le premier à utiliser le terme (qu’il prononce d’ailleurs “nosequeel”). Cette appellation fait référence à un système alternatif aux bases de données relationnelles. NoSQL est un système de base de données non relationnelles. Cette solution légère et open-source permet d’organiser les données
Les limites des SBDR à l’ère du Big data Contrairement au NoSQL, le SQL suit un schéma fixe : 1. Tables: Un tableau qui contient des colonnes. 2. Colonnes: Contiennent les informations majeures de la base de données. 3. Clés: Permettent de créer le schéma relationnel entre les différentes tables. Ces bases de données sont massivement utilisées, cependant elles demandent beaucoup de ressources. Ce problè me de ressource devient majeur lors d’emploi de base de données en Big Data. Les compagnies comme Facebook gèrent plusieurs terabyt
Les bases de données non relationnelles NoSQL ne suivent pas de schéma fixe comme le SQL mais possèdent différents typesde technologies qui ont chacune un domaine d’application spécifique. Il existe quatre types de bases de données NoSQL : 1. Bases de données orientées Clé-valeur 2. Bases de données orientées Colonnes 3. Bases de données Graph-Base
Depuis le début de l’article nous parlons de la base de données NoSQL. Cependant, cette BDD est une théorie d’utilisation et quand on veut passer à la pratique, on doit utiliser un systèmede base de données NoSQL. Ce système est un logiciel qui nous permet d'employer les BDD. Tu peux voir ça comme une interface homme-machine. Quand un ouvrier veut