En zone à risque sismique, les fondations doivent être adaptées à l'étude de sol et être à au moins 1,50 m de profondeur pour éviter les fissures.
En complément, les poteaux doivent être renforcés par ajout de ferraillage en acier.
Classiquement, les bâtiments sont considérés comme des oscillateurs multiples : plusieurs masses reliées entre elles et au sol par des ressorts et des amortisseurs, modélisés par des barres ou par éléments finis.
Dans l'espace, un nœud possède six degrés de liberté ; certaines modélisations réduisent ce nombre.
La construction parasismique d'un bâtiment s'appuie sur l'étude des multiples facteurs qui peuvent l'influencer.
Il s'agit d'une prise en compte globale qui inclut l'analyse des sols, le choix des matériaux, la forme générale du bâti ou encore l'intégration d'éléments de connexion, à l'instar des joints sismiques.