Une décision perçue par l'émotion comme néfaste est automatiquement associée à une sensation déplaisante au niveau du corps (soma), puis rejetée immédiatement afin de laisser place à un plus petit nombre d'alternatives.
Lorsque l'émotion ressentie est positive, l'alternative est « marquée » et conservée.
L'émotion est en lien avec le comportement car elle peut impulser une action, la stopper ou, du moins, détermine une « tendance à l'action » qui peut cependant être plus ou moins contrôlée.
Les émotions provoquent un important processus de partage social.
Les individus parlent de leurs expériences émotionnelles avec leurs proches dans 80 à 95 % des cas.
Contrairement à une conception courante, cette verbalisation ne permet pas de réduire l'impact de l'épisode.