Le 10 décembre 1982, la Convention de Montego Bay pose un cadre juridique sur les espaces maritimes en délimitant ce qui relève de la souveraineté des États et de la haute mer.
Le principe de la liberté y prévaut : liberté de navigation, de survol, de la pêche, de la recherche scientifique, de poser des câbles et des pipe-lines, de construire des îles artificielles.
L'objectif est l'utilisation pacifique des mers et des océans, la préservation du milieu marin.
La convention institue un Tribunal international du droit de la mer (TIDM), dont le siège est à Hambourg.
La convention de Montego Bay prévoit la fragmentation des statuts des espaces marins du droit de la mer.