Le Sommet, organisé conjointement par le gouvernement de l’Inde, sera l’occasion d’examiner le rôle de la médecine traditionnelle, complémentaire et intégrative pour relever les défis sanitaires urgents et favoriser les avancées dans les domaines de la santé mondiale et du développement durable.
En Afrique, Asie, Océanie et Amérique latine, différents pays font appel à la médecine traditionnelle : En Afrique, jusqu’à 80 % de la population a recours à la médecine traditionnelle pour les soins de santé primaires.
« Je vous invite à faire de cette réunion le point de départ d’un mouvement mondial visant à libérer le pouvoir de la médecine traditionnelle grâce à la science et à l’innovation », a déclaré Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, relevant les énormes contributions à la santé humaine apportée par la médecine traditionnelle.
Le Sommet sera l’occasion de présenter les expériences des pays, d’examiner les tendances régionales et de discuter des meilleures pratiques, y compris dans la mise en œuvre du chapitre consacré à la médecine traditionnelle figurant dans la Onzième Révision de la Classification internationale des maladies (CIM-11).