David Little (2006) afirme que « le développement de l’autonomie dans l’apprentissage langagier est régi par trois principes pédagogiques : la participation de l’apprenant, la réflexion de l’apprenant et la langue cible qui convient. » [Traduction libre]
Pour confirmer l’importance de ces actes de communication, les enseignantes et enseignants de français de base créent un contexte d’apprentissage en demandant aux élèves d’accomplir une tâche, généralement en collaboration avec un ou plusieurs de leurs pairs.
Le rôle de l’enseignant est alors de questionner plutôt que de «prêcher». Il exige de l’enseignant qu’il pose des questions qui sondent. L’enseignant doit par la suite apprendre à poser des questions qui favorisent l’émergence d’hypothèses et qui amènent l’apprenant à raisonner.
Les enseignantes et enseignants de français de base peuvent avoir recours à ces technologies pour organiser des échanges virtuels avec des élèves de partout au monde, pour promouvoir la littératie culturelle et pour confier aux élèves des tâches authentiques.