Réalisez-vous dans le domaine de l’enseignement! Ce diplôme vous donne les compétences requises pour enseigner le français comme langue seconde auprès des élèves allophones de tout âge, tant dans les programmes de base que dans les classes d'immersion, d'accueil ou de francisation.
Correction et annotation des travaux d'élèves de cycles et de disciplines variées et jugement professionnel. Analyse et élaboration des différents instruments pour l'évaluation des apprentissages en français langue seconde (FLS): outils de planification, outils de collecte, outils d'interprétation et de jugement et outils de communication.
Grâce au baccalauréat en enseignement du français, langue seconde, vous serez à même de résoudre les problèmes d'apprentissage de la langue que rencontrent les enfants, les adolescentes et les adolescents, les adultes et les personnes immigrantes, alphabétisées ou non, désirant intégrer la société québécoise.
Dans la totalité de sa documentation d’état sur la question, le Canada exprime effectivement une ferme volonté de maintenir et de renforcer la promotion et l’enseignement précoce de chacune des langues officielles auprès des communautés les approchant comme des langues secondes.
D’un point de vue strictement juridique, on compte trois catégories principales de langues au Canada : les langues officielles ou langues de la charte (le français et l’anglais) reconnues au fédéral par la Loi sur les langues officielles (1969) [dans les législations provinciales, cependant, seuls le Québec et le Nouveau-Brunswick confèrent au fran
L’importance accordée à l’enseignement du français a fluctué au cours de la longue histoire des relations francophones-anglophones. La puissance économique se trouvant largement, jusqu’à récemment, chez les anglophones, la langue française ne jouit pas du même statut que l’anglais au Canada malgré son importance historique, son poids démographique
Si les politiques linguistiques relatives au français sont souvent sources de remise en question de l’unité canadienne et des relations entre francophones et anglophones, le débat sur l’anglais comme langue seconde est moins politisé. Pour les immigrants au Canada anglais, par exemple, l’apprentissage de l’anglais constitue une exigence de survie.
La loi stipule que les services publics fédéraux doivent être disponibles dans les deux langues officielles, ce qui oblige plusieurs fonctionnaires fédéraux à être bilingues. La fonction publiquefédérale crée son propre service de formation linguistique. Entre le début des années 1970 et celui des années 1990, quelque 2 500 fonctionnaires peuvent b
Il y a un siècle, la méthode la plus populaire d’enseignement de la langue seconde était la grammaire-traduction, c’est-à-dire l’enseignement et la pratique des règles de grammaire par des exercices de traduction. Puis, vers 1900, la méthode directe fait son apparition et connaît un certain succès. Il s’agissait alors d’enseigner sans recours à la
La Commission royale d’enquête sur le bilinguisme et le biculturalisme (1963) soutient que la diversité linguistique constitue une ressource sociale et personnelle importante. En 1977, l’Ontario crée son programme des langues patrimoniales (Heritage Language Program) qui fournit des fonds pour l’enseignement des langues patrimoniales, c’est-à-dire
La linguistique reconnaît en général 11 groupes principaux de langues autochtones canadiennes et certains d’entre eux comprennent plusieurs langues et dialectes. Certains autochtones (surtout dans le Grand Nord) maintiennent très bien leurs propres langues, mais la langue d’enseignement dans leurs écoles est habituellement le français ou l’anglais(