L ˇØtablissement de microfinance doit en outre Œtre en mesure de distinguer la fraction mobilisable des prŒts et titres à souscription obligatoire de celle qui ne l ˇest pas et ventiler, à la date d ˇarrŒtØ mensuel des comptes, les encours suivant la durØe restant à courir.
Selon Roy (2006), l’histoire de la microfinance peut être remontée aux expériences de crédits dirigés qui ont eu lieu des années 50 aux années 70. Les agences de développement et les gouvernements tentaient alors de répondre aux difficultés de capital abordable et des prêteurs usuraires auxquels les paysans étaient confrontés.
Les institutions de microfinance dominées par les caisses locales d’épargne et de crédit engrangent plus de la moitié des crédits placés.
revenus et des micro-entrepreneurs sur l’ensemble du territoire d’ici 2015, grâce à des IMF pérennes et pleinement intégrées au système financier (Kouthe, 2012). Malgré cette politique de microfinance, le secteur agricole reste encore tributaire des usures subies par les producteurs en quête du financement de leurs activités.