La détermination de la séquence nucléotidique des fragments d'ADN a été obtenue par une version modifiée du séquençage Sanger.
Celle-ci permet de répliquer l'ADN in vitro, et d'arrêter aléatoirement la réplication par l'incorporation d'un nucléotide associé à une molécule fluorescente.
Le génome humain est long d'environ 3,2 milliards de nucléotides.
Pour pouvoir obtenir la séquence complète, des échantillons d'ADN sont récoltés auprès d'une trentaine de donneurs anonymes.
Les chromosomes sont isolés afin de pouvoir extraire l'ADN génomique.
Pour le séquençage d'un génome entier, on utilise plutôt le séquençage nouvelle génération.
Le principe de cette méthode consiste à initier la polymérisation de l'ADN à l'aide d'un petit oligonucléotide (amorce) complémentaire à une partie du fragment d'ADN à séquencer.