Mais toutes ces plantes génétiquement modifiées n'en sont qu'à la phase de développement. Les populations des pays en voie de développement ne disposent principalement que de légumineuses, de riz, de maïs ou d'une autre sorte de céréales comme nourriture.
Etant donnée cette diversité et afin de fournir une base génétique à la classification des plantes cultivées, de Wet (1971) a proposé les trois catégories informelles suivantes : + Le pool génétique primaire : unité génétique de base : correspond au concept traditionnel de l’espèce biologique.
Le but de l’amélioration génétique des plantes est alors de corriger ces défauts. L’amélioration génétique des plantes peut donc être définie comme la science et l’art de la création de nouvelles populations, appelées variétés, répondant de mieux en mieux aux besoins de l’homme, y compris au respect de l’environnement.
La mise sur le marché aux Etats-Unis d’un premier aliment génétiquement modifié (tomate à mûrissement ralenti) remonte au milieu des années 1990. Depuis lors, des souches génétiquement modifiées de maïs, de soja, de colza et de coton ont été adoptées par un certain nombre de pays et commercialisées.