Les signaux périodiques sont des signaux à énergie infinie mais à puissance finie (“power signals”), c’est-à-dire que 0 < Px < 1. La densité spectrale de puissance, Px(f), est donc un spectre discret (spectre de lignes) dont les composantes sont égales à jcnj2 (en V 2 par Hertz, ou en Watts par Hertz dans une impédance de 1 ).
(ici encore, A, fc et ' sont réels). Si un signal continu g(t), ou discret gk, ne peut prendre qu’un nombre fini M d’amplitudes alors g(t), ou gk, est un signal numérique M-aire. Si M = 2, le signal est binaire. FIGURE 2.3: Exemple de signaux continu, discret, analogique et numérique.
est connue de manière non équivoque pour toutes les valeurs de temps. Un signal aléatoire g(t) est un signal pour lequel il existe une incertitude quant à sa valeur au temps t. est aléatoire car on ne sait pas de façon sûre qu’elle est l’amplitude X de la sinusoïde.
Un signal déterministe g(t) est un signal pour lequel on connaît exactement sa valeur en tout temps. est connue de manière non équivoque pour toutes les valeurs de temps. Un signal aléatoire g(t) est un signal pour lequel il existe une incertitude quant à sa valeur au temps t.