D'une part, l'aide alimentaire élève le niveau des revenus des ménages bénéficiaires et leur permet éventuellement d'aider d'autres ménages de la communauté grâce à des transferts privés.
Mais d'autre part, l'aide alimentaire, à l'instar des transferts publics, diminue les besoins de transferts privés.
De manière générale, les revenus doivent être inférieurs à 667 euros par mois pour avoir droit au Restos du Coeur.
La politique de lutte contre la précarité alimentaire est financée par l'État et le programme Soutien européen à l'aide alimentaire (SEAA) du fonds social européen plus (FSE+), en soutien des dispositifs autofinancés par les collectivités et les acteurs associatifs.