Sous la IIe République puis le Second Empire, la France apporte son soutien dans la naissance de l'Italie. À partir du milieu des années 1860, l'empereur Napoléon III, allié au pape de Rome, fait tout pour freiner l'unification italienne.
La chute du Second Empire en 1870 permet finalement l'unification italienne.
La décision d'une alliance militaire contre l'Empire autrichien est actée.
Elle doit permettre au royaume de Piémont-Sardaigne de chasser les Autrichiens du nord de l'Italie afin de réaliser l'unité.
En échange, la France doit recevoir les comtés de Savoie et de Nice.
Jusqu'au début du XIXème siècle, la France bénéficie des conséquences du traité de Westphalie, et joue en toute impunité des antagonismes entre états allemands : elle soutient d'abord la Bavière et la Saxe contre l'Autriche, puis elle change de braquet et s'allie à l'Autriche et à la Russie contre le Hanovre et la