Le désir comme force de l'homme et affirmation de la joie menant au bonheur. À contrepied des courants de pensée antiques, pour certains philosophes, le désir peut constituer une force de l'homme et permettre l'affirmation de la joie, ce qui mène au bonheur.
Le bonheur c'est le plein contentement et c'est la raison pour laquelle Aristote disait que ce n'est qu'à la fin de sa vie qu'un homme peut savoir s'il a été vraiment heureux car c'est chaque jour que nous remplissons ou au contraire que nous vidons nos vies.
Le bonheur c'est le plein de vie contre la vie vide.
Calliclès considère qu'un individu vraiment libre est celui qui jouit sans entraves et satisfait tous ses désirs.
Calliclès s'empresse alors de : « Vivre dans la jouissance, [d']éprouver toutes les formes de désirs et [de] les assouvir ».
Selon lui, bonheur consisterait en une liberté sans limite, où tout est permis.