Des études sociologiques ont démontré l'apport positif de l'appartenance religieuse pour le rendement scolaire, la vie de famille, le bien‑être et la contribution à la vie communautaire[2].
Les religions sont également le cadre des rites de passage marquant la naissance, le mariage et la mort.
Un fait essentiellement social Selon Durkheim, la religion est un ensemble de phénomènes religieux régi autour du lien entre croyances et pratiques, se rapportant à un objet de culte.
Pour lui, la religion est un fait social puisqu'elle répond à une logique régulière et universelle.
La religion édicte donc des impératifs moraux qui permettent de fonder nos sociétés et de les maintenir.
Elle discipline moralement les âmes et préserve ainsi la stabilité sociale.
Par ailleurs, le culte et la prière sont de bons moyens de rassembler les individus autour des mêmes valeurs.