Le principe «Une seule santé» consiste en une approche intégrée et unificatrice qui vise à équilibrer et à optimiser durablement la santé des personnes, des animaux et des écosystèmes.
Les problématiques relevant de l’approche « Une seule santé » sont les suivantes : les maladies à transmission vectorielle – principalement la maladie de Lyme, mais aussi la dengue, le chikungunya et la maladie de Chagas ;
Si l’approche « Une seule santé » est un concept de portée mondiale, la stratégie adoptée par l’OMS/Europe à cet égard est ancrée localement, avec pour objectif de répondre aux besoins spécifiques des pays et de renforcer les alliances « Une seule santé » aux niveaux régional, national et local.
L’approche « Une seule santé » s’applique à toute une série de problématiques, des zoonoses à la sécurité sanitaire des aliments, en passant par la résistance aux antimicrobiens. Les problématiques relevant de l’approche « Une seule santé » sont les suivantes :
On reconnaît de plus en plus que certaines lacunes, comme un manque d’échanges d’information entre secteurs, dans les gouvernances locales, nationales et mondiale contribuent à l’émergence et la réémergence des maladies d’origine animale. Une vaste collaboration est en marche pour y remédier depuis déjà quelques années. Une collaboration tripartite
La nouvelle définition de l’approche précise qu’elle est intégrée et globale, et vise à équilibrer et à optimiser durablement la santé des personnes, des animaux et des écosystèmes. Elle reconnaît qu’on ne peut considérer de manière isolée la santé des êtres humains, des animaux domestiques et sauvages, des plantes et de l’environnement. L’approche
L’OMS s’est mobilisée en présentant une proposition pour la mise en place d’un traité sur les pandémies lors d’une séance extraordinaire de la WHA (World Health Assembly) tenue du 29 novembre au 1erdécembre 2021. La WHA est l’organe décisionnel de l’OMS. Un traité est un instrument juridiquement contraignant en vertu du droit international. Un trai
Le Canada a déjà un réseau interdisciplinaire de recherche-action appelé Global 1HN. Il vise à renforcer le leadership canadien dans l’amélioration de la gouvernance mondiale des maladies infectieuses et de la résistance aux antimicrobiens. L’adhésion du Canada à un traité sur les pandémies intégrant l’approche « Une seule santé » s’avère être un e