La structure psychique est par définition stable et chaque structure implique des possibilités de régression jusqu'à des points de fixation correspondant aux étapes de développement libidinal, différentes selon qu'on se situe dans une perspective freudienne, ou kleinienne.
Selon Jean Bergeret, dans sa théorie structuraliste, il n'existe que deux structures psychiques stables : la structure névrotique et la structure psychotique.
La troisième structure, "état-limite", étant plus instable (astructuration).
Généralement, on définit trois ou quatre grandes structures de personnalités : les structures névrotiques (qui sont constituées par la phobie, l'hystérie et la névrose obsessionnelle), les organisations limites (les états-limites et les pathologies du narcissisme), et la structure psychotique.