Le processus de radicalisation doit être désamorcé en premier lieu par le dialogue ainsi que par le respect des droits de l'homme et de l'état de droit.
L'éducation représente donc un outil efficace pour renforcer la résilience des apprenants face à l'extrémisme violent et atténuer les facteurs de ce phénomène.
L'extrémisme violent et le terrorisme exacerbent les problèmes de gouvernance et d'inégalités qui sont déjà présents dans certains pays et sociétés, et augmentent le risque de conflits violents.
La violation des droits humains, l'absence d'institutions démocratiques et redevables, le non-respect de l'État de droit, l'intolérance et la discrimination à l'égard des minorités servent d'engrais au phénomène de l'extrémisme violent, quel que soit le contexte, conflictuel ou non.