Les plans ont défini la carte des vulnérabilités des bassins. Elles montrent que tous les territoires sont vulnérables, mais de façon inégale. Ces cartes ont l’intérêt de montrer les territoires qui sont les plus concernés et qui demanderont donc le plus d’actions d’adaptation.
La vulnérabilité doit donc être utilisée au sens large du terme et ainsi intégrer les aspects sociaux tels que le patrimoine culturel, le sentiment d’appartenance, d’accomplissement et de satisfaction que procure par exemple un lieu de travail et de résidence.
En regard des scénarios prospectifs des changements climatiques (augmentation moyenne de 10 % des précipitations), une gestion intégrée du risque d’inondation à l’échelle régionale s’avère essentielle afin de réduire la vulnérabilité des communautés néobrunswickoises (Jellet M., 2017).
La première limite est liée au maillage cartographique utilisé et la deuxième, dépendante de la première, est causée par la grande diversité des indicateurs de vulnérabilité choisis ainsi que l’inclusion de la vulnérabilité individuelle (perception, représentation du risque) dans l’analyse.