Malgré leur volonté isolationniste initiale, les États-Unis s'impliquent progressivement dans la Seconde Guerre mondiale. En mars 1941, les États-Unis votent, après de longs débats, la loi prêt-bail permettant de fournir du matériel aux Britanniques sans entrer directement dans le conflit.
Le président Truman fait usage de la bombe atomique à Hiroshima le 6 août 1945 et à Nagasaki le 9 août 1945, obtenant la capitulation du Japon. À l'issue du conflit, les États-Unis confirment leur rôle de première puissance mondiale. Ils possèdent les deux tiers des réserves mondiales d'or.
La Première Guerre mondiale menace leurs intérêts et les pousse à intervenir dans le conflit. Au lendemain de la guerre, Wilson est un acteur essentiel de la rédaction des traités de paix et il veut instaurer une sécurité collective avec ses quatorze points.
Les États-Unis interviennent toutefois aux côtés de la France et du Royaume-Uni en 1917, suite à la guerre sous-marine qui menace leurs intérêts et au projet allemand de faire intervenir le Mexique dans la guerre. Leur mobilisation permet la victoire sur l'Allemagne.