Si le nombre d’accidents liés à l’électricité diminue régulièrement, ceux-ci sont souvent très graves. Le risque électrique comprend le risque de contact, direct ou non, avec une pièce nue sous tension, le risque de court-circuit et le risque d’arc électrique. Les conséquences sont l’électrisation, l’électrocution, l’incendie, l’explosion…
Lors de l’intervention d’un sous-traitant, la prévention du risque électrique doit être organisée, notamment par la rédaction d’un plan de prévention. Les accès à l’installation doivent être donnés par le chargé d’exploitation électrique, s’il existe. Les sous-traitants doivent être, le cas échéant, habilités par leur employeur.
des contacts défectueux (de type connexion mal serrée ou oxydée) entraînant une résistance anormale et un échauffement ; une décharge électrostatique. le stockage de matériaux inflammables à proximité d’installations électriques ; l’empilage des câbles empêchant l’évacuation de la chaleur.
Suivant les principes généraux de prévention introduit par le Code du travail (articles L. 4121-1 à L. 4121-5), l’employeur doit « donner des instructions appropriées aux travailleurs ». En conséquence, il se doit de former ses salariés à la prévention du risque électrique.