L'utilitarisme vise en effet un idéal social et politique dans lequel, grâce au progrès des lois et de l'éducation, il ne serait plus indispensable de sacrifier son bonheur pour celui des autres.
Selon Mill, la société n'a pas à intervenir sur « cet aspect de la vie et de la conduite d'une personne qui n'affecte qu'elle-même ou qui, si elle en affecte également d'autres, ne le fait qu'avec leur participation et leur consentement volontaire, et en toute connaissance de cause » (Ibid., p.
L'utilitarisme hédoniste se donne pour objectif de maximiser le bien-être des individus, tandis que l'utilitarisme des préférences a pour objectif de maximiser la satisfaction des préférences des individus.
Ne comptent que les préférences de l'individu qui le concernent lui-même.