Pour la première fois, ils sont parvenus à mesurer la vitesse propre d'une molécule animée par un mouvement brownien.
Un mouvement découvert par hasard en 1827 par le botaniste écossais Robert Brown.
On dit qu'un processus Bt(ω) défini sur un espace probabilisé (Ω,A,P) est un mouvement brownien nul en 0 si c'est un processus gaussien centré de noyau de covariance K(s, t) = s ∧ t, et qu'il est continu : pour tout ω ∈ Ω, la fonction t ↦→ Bt(ω) est une fonction continue.
En conclusion, pour simuler un mouvement brownien en N points, – on forme Γ donnée par Γi,j = min(ti,tj), – on calcule σ par la méthode de Cholesky, – on forme le vecteur Y à partir de N tirages indépendants de v.a. gaussiennes centrées réduites.
Cette méthode s'applique à n'importe quel processus gaussien.