L'un des principaux objectifs d'ITER est de démontrer que les réactions de fusion qui se produisent au sein du plasma sont sans impact sur les populations et l'environnement.
Les travaux sur le site et la fabrication des équipements se poursuivent avec un objectif de mise en œuvre du premier plasma d'hydrogène retardé par rapport à l'année 2025 préalablement annoncée.
La révision du planning, intégrant notamment l'évaluation de l'impact de la pandémie de Covid-19, est encore attendue.
Pour porter le plasma d'ITER à la température recherchée, deux grandes techniques de chauffage externes, l'injection de neutres et les ondes électromagnétiques à haute fréquence, interviendront en complément du chauffage ohmique.
L'injection de neutres consiste à « tirer » des particules à haute énergie dans le plasma.