Le poème liminaire des Fleurs du Mal associe l'acte de la respiration à la mort.
Elle est la « maîtresse des maîtresses » dans le poème « Le Balcon », et c'est elle qui inspire les vers de « Parfum Exotique », « La Chevelure », « Le Serpent qui Danse », « Le Vampire », « Sed Non Satiata », série de poèmes des Fleurs du Mal citée comme le cycle de la «Vénus Noire».
Belles passantes, mendiantes touchantes, négresses fascinantes et courtisanes avilies ont imprégné sa vie et sa poésie et rythment même l'une et l'autre.
Dans le monde baudelairien la femme apparaît à la fois comme un être divin et une créature du diable, elle est une réalité et un fantôme.