Sur le plan théorique, urbanisme et architecture s'identifient : toute conception de la ville implique un langage architectural qui lui soit conforme ; et réciproquement, tout type d'architecture présuppose un discours urbain cohérent. Cette identité fondamentale laisse cependant ouverts trois problèmes.
L'architecture, du coup, ne peut pas se limiter à fournir la troisième dimension, elle doit, par sa force propre, orienter le développement urbain. Elle cesse d'être seulement architecture, elle assume une fonction synthétique de suppléance, elle devient « urbatecture ».
L’architecture peut à la fois être un levier puissant de la transition écologique et un facteur d’amélioration de la qualité de vie de chacun. A l’échelle de la ville, il s’agit en concertation avec les habitants, d’améliorer ou de réparer l’existant sans étendre davantage les zones construites et en profitant des opportunités de requalification.
Un concours est nécessaire pour être recruté comme urbaniste ou architecte par l’État. Deux options existent : patrimoine architectural urbain et paysages, et urbanisme et aménagement. Portées par l'engouement du grand public pour le végétal, les entreprises du paysage maintiennent leur activité.