Les droits de l’homme sont indivisibles. Qu’ils soient civils, culturels, économiques, politiques ou sociaux, ces droits sont inhérents à la dignité de la personne humaine. En conséquence, ils ont tous la même valeur en tant que droits. Il n’y a aucun droit qui ait « moins d’importance » que les autres.
Tous les individus et tous les peuples ont le droit de bénéficier de façon active, libre et significative de la participation, de la contribution et de la jouissance liées au développement civil, économique, social, culturel et politique grâce auquel les droits de l’homme et les libertés fondamentales peuvent se matérialiser.
Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression. Article 3. - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément. Article 4.
Le droit international des droits de l’homme fournit un cadre pour ce soutien, y compris la manière d’atténuer la régression dans la réalisation des droits. Il s’agit de s’assurer que les mesures adoptées n’entraînent pas de résultats discriminatoires, en particulier pour les personnes les plus marginalisées. Et enfin, l’espace civique.