Les politiques environnementales peuvent prendre différentes formes : norme, interdiction, accord volontaire ou incitation économique ( taxes, subventions et permis négociables).
Pour agir contre le réchauffement climatique, l'État dispose de ces trois instruments : la loi (contrainte), la taxe (désincitation) ou la subvention (incitation) et le marché de quotas d'émission par lequel l'État attribue des « droits à polluer » qui pourront ensuite être échangés sur ce même marché.
Si certains investissements environnementaux ont des retombées économiques positives à plus ou moins long terme et sont nécessaires pour assurer la légitimité sociale de l'entreprise, les actions de dépollution peuvent aussi exiger de lourdes dépenses et compromettre l'équilibre financier de l'entreprise.