Avant de les aborder, il faut insister dans une troisième partie sur ce qui est au cœur de l’agroécologie : la protection et la gestion durable des ressources naturelles. renforcer les organisations de la société civile afin qu’elles aient une influence sur les politiques publiques
Les approches agroécologiques aident les producteurs de denrées alimentaires à réduire les coûts de production, ce qui se traduit par une augmentation des revenus, une stabilité économique et une résilience. Les systèmes agroécologiques optimisent l'utilisation des ressources et des connaissances locales et renouvelables.
Encore plus en agriculture biologique, une approche à l’échelle du système (de culture, d’élevage ou encore de production) est indispensable. Les Chambres d’agriculture à travers le dispositif INOSYS produisent des références à l’échelle de système intégrant des systèmes bio. Pour la filière élevage, le dispositif est coordonné avec l’IDELE.
B. L’approche « écologique » (James Gibson (1950, 1966, 1977)) On postule qu’il existe un couplage direct entre perception et action compte tenu d’une intention donnée. Cette approche se centrant sur l’entrée perceptive pour envisager ses effets du point de vue de la sortie motrice.