La participation des différents pays aux chaînes d’approvisionnement mondiales pendant la pandémie a donc comporté des coûts et des avantages. D’une part, la participation les exposait au risque de confinement et de fermeture d’usines dans d’autres pays.
Mme Gopinath a mis en avant la désynchronisation des chaînes d'approvisionnement mondiales, qui entraînent blocages dans les ports, pénuries pour toute une gamme de produits et matériaux, en particulier les semi-conducteurs, et une hausse des coûts d'exportation.
Au plus fort de la crise, la pandémie a entraîné de nombreuses fermetures d’usines qui se sont répercutées sur les chaînes d’approvisionnement, les intrants intermédiaires des usines fermées devenant rares ailleurs sur ces chaînes de montage mondiales.
Dans ce contexte, les dirigeants et les entreprises examinent plusieurs options qui pourraient redéfinir les chaînes d’approvisionnement: Une première option préconisée par certains est la relocalisation (reshoring), c’est-à-dire l’abandon des chaînes d’approvisionnement mondiales et le rapatriement de la production qui est faite à l’étranger.
Un nombre croissant de PME doivent aussi payer davantage pour leurs intrants et pour le transport. La flambée des cours du pétrole et la hausse des prix de certains métaux et denrées agricoles, exacerbées par l’invasion en Ukraine, expliquent en bonne partie cette hausse des coûts. À titre d’exemple, le prix du baril de pétrole a dépassé la barre d
Les difficultés d’approvisionnement ont des effets d’entraînement sur la performance des entreprises. 1. Deux dirigeant.es sur trois (66 %)ont dû augmenter les prix de leurs produits pour faire face à la hausse du coût de leurs intrants. 2. 39 %des entrepreneur.es ont réduit leurs marges bénéficiaires. 3. Près de 60 %des répondant.es ont également
L’invasion en Ukraine et les sanctions de plusieurs pays contre la Russie sont sans aucun doute les principaux facteurs contribuant à l’assombrissement des perspectives d’approvisionnement des PME. Pour preuve, plus du tiers (36 %) des entrepreneur.es indiquent subir les effets néfastes de ces hostilités. Une proportion de 61 % ne ressent pas les e
Bien qu’il soit difficile d’éviter complètement les problèmes d’approvisionnement et l’inflationqui en découle, quelques options s’offrent aux entrepreneur.es pour en amoindrir les conséquences. See full list on bdc.ca