L'inégalité et la croissance sont endogènes : les 20 % les plus pauvres bénéficient de la croissance à moyen terme.
L'inégalité initiale est défavorable aux pauvres mais pas aux riches.
L'investissement est associé à plus de croissance pour tous mais bénéficie davantage aux pauvres qu'aux riches.
On peut citer un autre exemple qui montre comment la croissance favorise le cumul des inégalités : le travailleur d'une branche moderne en croissance rapide va bénéficier d'un salaire plus élevé qu'un travailleur d'une branche en déclin.
Les inégalités limitent l'investissement
Ils sont donc aussi un élément essentiel à la croissance.
En outre, dans un pays à faible taux d'inflation, les plus aisés peuvent bénéficier d'une rente sans que la hausse des prix n'érode leur patrimoine.