Pour résumer, selon Aristote, le bonheur est le Souverain Bien et s'atteint pour l'homme par une activité de la pensée, considérée comme activité qui est à elle-même sa propre fin, et qui se décline comme activité politique ou morale ou bien comme activité théorétique, de connaissance.
Résumons la thèse platonicienne sur le bonheur comme cela : une vie passée à courir après ce dernier est épuisante.
Pour vivre heureux, il faut absolument maîtriser la force de notre désir.
Le bonheur n'est pas dans le plaisir à répétition, mais dans la quête des plaisirs durables.
Fondamentalement, Socrate tient à établir deux points principaux: Le bonheur est ce que tout le monde désire : puisqu'il représente une fin en soi, il s'agit d'un bien inconditionnel.
Le bonheur ne dépend pas de choses du monde extérieur, mais plutôt de la façon dont nous les appréhendons.