Les droits de l'homme et le développement sont et devraient toujours être complémentaires.
Le développement durable, en particulier, représente une stratégie essentielle permettant de réaliser progressivement les droits de l'homme, notamment le droit à un niveau de vie satisfaisant.
Le droit international du développement ne peut donc être considéré comme une discipline autonome ayant un objet, des méthodes, des sources complètement distincts, sur le plan scientifique, de ceux du droit international général, conçu comme l'ensemble des règles régissant les relations transfrontières.
Le droit au développement est l'un des droits fondamentaux de l'homme et tous les États parties sont tenus d'élaborer des politiques de développement et de prendre les mesures requises pour garantir ce droit.