Les infections génitales hautes (IGH) sont dues essentiellement à la contamination de l'appareil génital par voie ascendante, et les pathogènes peuvent être sexuellement transmis comme Chlamydia trachomatis, Neisseria gonorrhoeae et Mycoplasma genitalium, ou être issus de la flore vaginale (entérobactéries, anaérobies,
Pour ce qui est des infections génitales basses, en dehors des agents parasitaires (sarcopt, phytiriase) et des parasitoses digestives transmises sexuellement (amibiase, giardiase) les germes rencontrés le plus souvent sont : le gonocoque,le trichomonas, le tréponème, le bacille de Ducreyi l'herpès virus, le papilloma
Pour l'imagerie diagnostique, le premier examen à réaliser systématiquement est une échographie pelvienne, puis si un doute persiste un scanner ou éventuellement une IRM.
La cœlioscopie diagnostique, auparavant très pratiquée en France, devient ainsi un examen de seconde intention.