Les déformations qui les marquent, prennent 2 voies : Celle de la dilatation et celle de la rétraction. Tout au long de cette double chaîne apparaissent des types de plus en plus dégénérés, jusqu'au type final, dit de fin de race (en général impuissant ou infécond).
La limitation des phénomènes de déformations passe par une réduction des tensions internes dans l’ensemble mécano-soudés. Pour y parvenir, il existe plusieurs principes à mémoriser et à appliquer pour toutes opérations de soudage : Adopter des joints avec un minimum de soudure (ex: Chanfrein en X)
On trouve, dans la zone allant de 1300 à 1000 les bandes de déformation dans le plan des H aromatiques. Elles sont plutôt faibles et nous ne nous en serviront pas pour la détermination fonctionnelle.
Pour un solide continu, une déformation peut être vue comme une application continue d'une configuration à l'autre, bijective, de sorte qu'on puisse « revenir » à la configuration initiale [3] : Il est à noter que est une application à valeurs vectorielles.
La cinématique est globalement l'étude d'un mouvement indépendamment de ses causes, et fournit ainsi essentiellement des outils descriptifs. Il s'agit donc de pouvoir définir et décrire un solide et les déformations qu’il peut subir. Ce chapitre s'adresse avant tout aux lecteurs qui ne sont pas familiers avec la mécanique des milieux continus (méca
Il faut tout d’abord introduire un certain nombre de notionsadaptées à la description des milieux continus. On peut noter que la à plupart d'entre elles ne sont pas spécifiques à l'élasticité, ni même d'ailleurs aux solides, et sont tout à fait générales. See full list on fr.wikiversity.org
Nous avons vu comment mettre en équations les déformations subies par un solide. Nous allons construire un objet, le tenseur de Green-Lagrange, dont les propriétés permettent d'accéder à des informations élémentaires sur la déformation, tout en la décrivant. See full list on fr.wikiversity.org
Définition Dans le cas de petites déformations — ce qui est le cadre de l'élasticité — nous allons pouvoir simplifier l’expression du tenseur de Green-Lagrange. Dans toutes les applications pratiques, c’est à cette expression simplifiée que l’on fera référence. Pour démontrer ce résultat, on fait l'hypothèse que les termes d'ordre deux et plus en gradient de usont négligeables : E = 1 2 ( F T F − 1 ) = 1 2 ( D X φ T D X φ − 1 ) = 1 2 ( D X ( u + X ) T D X ( u + X ) − 1 ) = 1 2 ( D X u T D X u + D X u +
↑ Les concepts et définitions qui suivent sont basées sur les travaux de Gurtin (1972) et ceux de Truesdell et Noll (1992).↑ On peut voir les configurations comme des applications (bijectives) qui à chaque point associent une région de l'espace : des homéomorphismes.On distingue parfois une configuration de référence,