Convention pour le règlement pacifique des conflits internationaux adopté le 18 octobre 1907. Acte Général pour le règlement pacifique des différends internationaux adopté le 26 septembre 1928 Le pacte Briand-Kellog signé le 27 août 1928 le principe de l’interdiction du recours à la force.
Ainsi, la convention de La Haye de 1907 pour le règlement pacifique des conflits internationaux, rappelle d’ailleurs que l’arbitrage implique pour les Etats, leur engagement de se soumettre de bonne foi 69 à la sentence.
Article 3. Rapport entre la présente Convention et les règles pertinentes des organisations internationales ou des conférences Les dispositions de la présente Convention ne portent pas préjudice aux règles pertinentes de l’Organisation ou aux dispositions pertinentes du règlement intérieur de la conférence. Article 4.
Les conventions internationales, soit générales, soit spéciales, établissant des règles expres- sément reconnues par les États en litige; b. La coutume internationale comme preuve d’une pratique générale, acceptée comme étant le droit; c. Les principes généraux de droit reconnus par les nations civilisées; d.
Chaque État ayant des intérêts et des aspirations propres sur la scène internationale, l’aspect souple, et très diversifié de ces modes, est présenté à l’article 33 de la Charte des Nations Unies précité (contenu dans le Chapitre VI, « Règlement Pacifique des Différends »). Il propose ainsi des « étapes », une progression croissante d’étapes allant
Ces modes sont les plus traditionnels. Notons au préalable qu’ils peuvent se combiner entre eux, ou se retrouver de façon transversale, le but étant de trouver une solution au différend. Le plus classique est la négociation : Véritable « pierre angulaire » du règlement pacifique des différends, elle doit être menée conformément au principe de bonne
À la différence des procédures diplomatiques mettant directement en contact les parties litigantes, on a faire, dans ce type particulier de règlement, à des mécanismes où les tiers sollicités, interviennent de façon active, à la recherche de solutions au différend engagé. Dans ces modes spécifiques, le tiers s’efforce de faciliter la reprise des né
Les organisations internationales ont comme fonction principale d’être des sujets secondaires du droit international, c’est à dire d’être créées par les sujets premiers que sont les États. Malgré leurs statuts et leurs objectifs divers, leur point commun essentiel est celui de permettre une coopération étatique autant que faire se peut. Elles serve
Conformément au Préambule de la Charte des Nations Unies, l’une des finalités principales de l’organisation internationale lors de sa création, réside dans le fait pour ses membres d’unir leurs forces pour la paix et la sécurité internationales. Il est ainsi impossible aujourd’hui de dissocier un quelconque conflit ou différend international de l’a
Historiquement parlant, l’arbitrage est un mode plus ancien que le règlement judiciaire. Il est donc davantage ancré dans la pratique internationale, et il n’est pas rare, que certains États n’y recourent pas, dès la naissance d’un litige, en ce qu’il demeure, malgré tout, soumis au consentement des États. L’arbitrage international s’effectue à tra
La sentence arbitrale marque l’aboutissement de l’arbitrage international. En vertu des modes juridictionnels de règlement des différends, la sentence arbitrale revêt un caractère obligatoire pour les parties, en ce qu’elle bénéficie, tout comme la décision d’une Cour internationale, de l’autorité de la chose jugée. Même si la sentence peut être re
La mission de la CIJ est en effet, de régler, conformément au droit international, les différends d’ordre juridique qui lui sont soumis par les Etats. Aucune affaire ne saurait être connue d’elle si le demandeur et le défendeur ne sont pas tous deux des Etats. Notre analyse sur la Cour internationale de justice, en tant qu’organe judiciaire interna
La CIJ a la particularité d’être dotée d’une double compétence, contentieuse et consultative. La compétence en matière consultative est moins fréquente et est du ressort des autres organes des Nations Unies. Sur leur demande, la Cour peut être amenée à rendre des avis concernant des questions de droit de portée générale. Ces avis sont dénués de for
Il est possible pour les parties au litige de contester le sens qu’a voulu donner la Cour à l’arrêt ou même la portée de ce dernier. Une ou plusieurs parties peuvent ainsi déposer une requête en interprétation ou en révision d’un arrêt de la C.I.J aux termes des articles 60 et 61 du statut de la CIJ. Cette interprétation est rare mais possible et s