Des études sociologiques ont démontré l'apport positif de l'appartenance religieuse pour le rendement scolaire, la vie de famille, le bien‑être et la contribution à la vie communautaire[2].
Les religions sont également le cadre des rites de passage marquant la naissance, le mariage et la mort.
Les diverses positions religieuses, dans le contexte du judéo-christianisme, peuvent être classées en cinq « courants » : le théisme, le déisme, le panthéisme, l'athéisme et l'agnosticisme.
L'athéisme, qui nie l'existence de Dieu, est un courant qui se développe grandement à partir du XIXe siècle.
La religion s'appuie sur des croyances – la croyance est l'attitude de l'esprit qui affirme quelque chose sans pouvoir en donner de preuves- ; la religion est par nature dogmatique.
La vérité peut y être décrétée et/ou « révélée ».