Il y a deux générations de neuroleptiques.
En dépit de leur efficacité sur des hallucinations ou un délire, ils induisent chez la personne âgée un risque de chute, de rétention d'urine, de constipation ou de confusion.
On leur préfère les neuroleptiques de seconde génération (Rispéridone, Quétiapine, Olanzapine…).
Déprescription des antipsychotiques pour les symptômes comportementaux et psychologiques de la démence et l'insomnie.
Les contre-indications les plus classiques sont l'allergie, l'intolérance connue, l'hyperthermie, le QT long, le glaucome ou encore la maladie de Parkinson.