Les infractions liées au terrorisme comprennent le recours à la violence à des fins politiques, comme le détournement d'aéronefs, l'attaque de navires, l'utilisation d'armes chimiques ou nucléaires contre des civils, les enlèvements et autres formes d'attaques visant des civils.
Elles contribuent à renforcer les inégalités de genre, à priver les femmes de leurs droits et font barrière à leur pouvoir d'action.
La présence d'organisations extrémistes violentes est un frein aux droits des femmes, affectant leur santé, leurs moyens de subsistance et leur sécurité.
Le processus de radicalisation doit être désamorcé en premier lieu par le dialogue ainsi que par le respect des droits de l'homme et de l'état de droit.
L'éducation représente donc un outil efficace pour renforcer la résilience des apprenants face à l'extrémisme violent et atténuer les facteurs de ce phénomène.