En effet, a souligné Mme Pobee, les pays du G5 Sahel doivent veiller à ce que leurs stratégies militaires de lutte contre le terrorisme et l'extrémisme violent soient respectueuses des droits humains et placent la protection des populations civiles au premier plan.
En 2014, le Burkina Faso, le Tchad, le Mali, la Mauritanie et le Niger ont mis en place le groupe des pays du « G5 Sahel » pour accroitre la coopération entre ces pays en matière de sécurité notamment, et relever les défis majeurs auxquels ces pays sont confrontés.
Aujourd'hui, le Sahel est infesté de terroristes.
Avec la chute de Kadhafi en Libye, la région est devenue un arsenal à ciel ouvert, où les armes circulent comme du pain ; n'importe qui peut se procurer une arme, ce qui provoque la violence.
La région souffre également de l'impact du changement climatique.